I.F. Plotnikov dit de Mratchkovski: “… En 1905 est entré en PORSD a présidé l’équipe de combat des bolcheviques, commettant les attentats terroristes. Était mis aux arrêts. Vers le temps de la Révolution de Février – à Ekaterinbourg, après la révolution, est élu à la composition du soviet de ville…”
Photo 10. Golochtchekine-Mratchkovski.
Le participant de l’instruction définitive le subinspecteur M. Talachmanov: “… près du mois du 15 juillet dans un des dimanches (par dimanche était le 14 juillet 1918 – auteur) la compagnie se promenait dans la forêt au nombre des gens suivants: 1) le commissaire militaire Golochtchekine, 2) sa adjoint Anoutchine, 3) le commissaire de logement Jilinski, 4) Oufimtsev, 5) Bronitski, 6) Safarov. 7) Jeltov et 8) le nom établir, se trouva non par le possible. Tous étaient avec les jeunes filles. Étant dans l’humeur gaie, discutaient vivement la question, comment faire avec le Souverain ancien l’Empereur et sa famille…”
Le 14 juillet 1918 de retour de Moscou, Golochtchekine dans la forêt a joué le spectacle suivant “en décidant” en présence des jeunes filles le destin de l’empereur ancien.
La fraude
Pendant discours dans le Radiocomité en 1964 Nikouline s’est embrouillé définitivement et s’est trompé pendant le direct (Nikouline Grigori Petrovitch le participant de la fusillade de la famille tsariste, en une semaine jusqu’à cela, le 10 juillet 1918 a tué le prince V.A. Dolgorouki): “… puisque Beloborodov, c’est-à-dire Golochtchekine…” Nous voyons le nom Beloborodov – on lit Golochtchekine.
La substitution d’unes de personnes par les autres est l’affaire ordinaire dans les déclarations des assassins. Le juge d’instruction pour les affaires considérables de la cour de la grande instance d’Omsk Nikolaï Alexeevitch Sokolov déjà à 1920 a réussi à comprendre, quels rôles exécutaient Beloborodov et Ermakov. Chez certains des investigateurs modernes leur rôle est exagéré.
Les gens qui voudraient s’affaisser par messieurs à Pétersbourg, mais aucunement à district d’Ekaterinbourg, ici ils étaient dans “la mission”. Avec le pince-nez sur nez s’affublaient aux capotes de soldat et les papakhas et cachaient les mains soignées quand se photographiaient. Beloborodov évidemment est de trop dans cette compagnie.
Photo 11. De gauche à droite: N.G. Tolmatchev, A.G. Beloborodov, G.A. Safarov, F.I. Golochtchekine.
Pour cacher le rôle véritable dans l’affaire du meurtre de la famille tsariste du favori de Lénine Safarov, entre en scène – bolchevique Beloborodov.
J’ai un grand doute au sujet de ce “trio”, qui écrivait aux prisonniers les lettres-fraudes.
Le tchekiste (le collaborateur de commission extraordinaire) Rodzinski Issaï Ilitch: “… Nous nous réunissions d’habitude Beloborodov, Voïkov et moi. Moi de CE (de la Commission Extraordinaire – auteur) Régionale d’Oural…
…il y a deux lettres, qui écrites du moi en français, avec la signature… Russe l’officier. Par l’encre rouge…”
Le tchekiste Koudrine Mikhaïl Alexandrovitch (Medvedev): “… Beloborodov, Voïkov et le tchekiste Rodzinski ont écrit de la part de l’organisation russe des officiers la lettre, dans lui ils disaient de la chute rapide d’Ekaterinbourg et proposaient de se préparer à l’évasion durant la nuit du jour défini…”
Voïkov soit dictait, soit écrivait en français. Rodzinski soit écrivait sous la dictée de Voïkov, soit recopiait ces lettres par graphie belle. Même dans une telle question la clarté est absent. Ici quelque chose cachaient. Que Beloborodov avec la formation du d’église paroissiale pouvait comprendre? Le troisième superflu. Probablement, par troisième il y avait Safarov, un assistant de Beloborodov, et d’orthographe française il connaissait mieux, que l’habitant de Perm Rodzinski.
Rodzinski dans le Radiocomité le 13 mai 1964 donne l’interview, une des phrases semble étrange: “… Dans la archive ont embrouillé… les choses authentiques…”
De nouveau la fraude. Les choses authentiques sont embrouillés dans archive.
À lieu laissé dans la lettre, ont écrit la réponse par graphie large.
Rodzinski: “… Pour l’histoire… il fallait le preuve du ce quoi se préparait le kidnapping… que parler, en effet… non d’aucun kidnapping ne se préparait pas…”
Dans un demi-siècle le tchekiste reconnaît, qu’il n’y avait, pas de complot avec le but de libérer de dessous la garde la famille tsariste, de complot qui est devenu la raison officielle de leurs de meurtre.
“… Est qui était rien celui-là deviendra”
Photo 12.
Le paysan de l’usine Syssertski Pavel Spiridonovitch Medvedev pour ne pas aller sur le front, se case travailler sur l’usine de la défense. Plus loin – plus. Le commissaire Mratchkovski, venant sur l’usine, a commencé à recueillir l’équipe de les plus fidèles à l’affaire de la révolution des gens pour la garde de “La Maison de spécial de nomination”.
Le salaire immense de par ses temps-là au 400 roubles est devenu par le facteur décisif d’inscription dans détachement. Plus loin encore plus. Medvedev était bien obligeant avec Yourovski (selon le témoignage Anatoli Yakimov de l’ouvrier de la fabrique de Zlokazov) et a mérité le siège de supérieur de la garde extérieure en “la Maison de spécial de nomination” avec le salaire déjà au 600 roubles. Vertigineux la croissance de carrière…
(Le recours plein de fautes de Medvedev à Soviet).
Oui-i-i-i…
Pendant le meurtre de la famille tsariste P. Medvedev se trouvait derrière tous les bourreaux. Tirait, mais a tué ou non – les informations est absentes. La cruauté vue a provoqué la nausée chez l’assassin pas mûr, et il est allé sur l’air.
Le tchekiste Koudrine (Medvedev): “… Dans la chambre de passage je vois Pavel Medvedev – il est mortellement pâle, chez lui le vomissement…”
Probablement, à père de trois d’enfants il était difficile de lever la main sur tsaristes d’enfants…
Le paysan de l’usine Syssertski, servant