…Le camarade Philipp [Golochtchekine] évidemment en me protégeant (car je ne me distinguais pas par la santé) m’ai prévenu pour que je ne marchais pas sur “les obsèques”, mais je m’inquiétais comme on cache bien les cadavres c’est pourquoi j’ai moi-même décidé aller…”
Pour cela probablement il avait une raison très sérieuse, mais parlons d’elle un peu plus tard…
Le tchekiste Koudrine (Medvedev): “… Ermakov s’assoit à chauffeur, de quelques personnes de la garde avec les fusils s’assoient au carrosserie…”
Le mitrailleur de la garde intérieure “le Letton” Kabanov: “… L’auto… en accompagnement de quatre camarades, étant assis dans la voiture et deux à cheval, étant assis sur chevaux, s’est écartée de la maison…”
Environ à deux heures et demie du matin le camion est parti de la porte de la maison (“Fiat” au 4 tonnes), sur lui est parti Ermakov et quelques personnes de la garde intérieure avec les fusils, deux personnes à cheval le on accompagnaient – Vaganov et M. Koudrine (Medvedev).
Photo 14. “Le Fiat” de début XX de siècle.
À 3 heures du matin Yourovski et “de la personne trois Lettons” partent de la porte de la maison en l’automobile (de couleur jaune).
A.A. Yakimov: “… L’automobile avec les cadavres Lioukhanov a dirigé à la porte qui sortait sur la ruelle Voznessenski…”
Koudrine (Medvedev): “… La voiture commence le mouvement, part par-dessus les portes en bois de la clôture extérieure, tourne à droite, et de par la ruelle Voznessenski…”
L’habitant d’Ekaterinbourg de V.Y. Bouïvid: “… se sont ouvertes les portes de la clôture de la maison Ipatevski et doucement – en faisant, peu de bruit – est parti sur la rue l’automobile en ayant tourné sur l’avenue Voznessenski…”
L’habitant d’Ekaterinbourg P.F. Tsetsegov: “… À 3 heures a entendu le bruit de l’automobile, à l’intérieur de la cloison de la maison d’Ipatev… Puis a entendu le bruit de automobile du même, se dirigeant vers une Principale avenue…”
Proskouriakov donnait les explications: “… Les automobiles entraient et au ceux-là et au l’autres portes mais sortaient seulement dans les portes qui sortaient sur la ruelle Voznessenski…”
D’Ermakov P.Z. de “Photocopie du manuscrit des souvenirs sur la fusillade de la famille tsariste”: “… Après la fusillade tous étaient mis au camion, et selon la voie d’avance indiquée, les automobiles ont partis de la ville à l’usine Verkh-Issetski, terrain forestier sur 8-ème kilomètre où autrefois était la extraction de minerai…”24
Et le camion de Lioukhanov et l’automobile de Yourovski sont partis par-dessus portes qui sortaient sur la ruelle Voznessenski, puis l’automobiles ont tourné sur l’avenue Voznessenski. Le premier environ à deux heures et demie du matin, le deuxième un peu plus tard, à 3 heures du matin.
Fig. 1 a./b.
Le chemin vers la minière
Fig. 2.
Sur la carte d’Ekaterinbourg de 1910 par les lignes rouges marquent “la ruelle Voznessenski”, “l’avenue Voznessenski” et “une Principale avenue”.
Le général Mikhaïl Konstantinovitch Diterikhs le dirigeant de la instruction définitive de Kolchak: “… Le chemin… va de la maison d’Ipatev par-dessus la ville d’abord de par l’avenue Voznessenski, mais puis tourne à droite, de par une Principale rue (une Principale avenue – auteur) et par elle chez l’hippodrome sort en dehors de les limites de la ville…”
L’hippodrome est indiqué en bas de la carte (fig. 3).
Fig. 3.
“… Ensuite, ayant passé par-dessus l’usine Verkh-Issetski, le chemin se dirige vers les cordons sur les lignes de chemin de fer de Kazan et de Perm et, passe les deux lignes et entre dans la forêt épais, mélangé, en broussailles…”
Fig. 4.
Yourovski: “… Ayant passé par-dessus l’usine Verkh-Issetski dans les verstes de cinq, se sont rencontrés par le camp entier – 25 personnes à cheval, dans les calèches etc. C'étaient les ouvriers (les membres du comité exécutif du soviet) de qui a préparé Ermakov…”
Compte tenu de l’échelle de la carte la rencontre s’est passée environ dans la place marquée par le cercle rouge sur fig. 5.
Fig. 5.
Le gardien de la voie sur passage à niveau №184 (fig. 6) Loboukhine Yakov Ivanovitch: “… Je me suis réveillé du bruit de l’automobile. Cette affaire surprenante, parce que jamais de affaire de telle avant n’était pas, pour que l’automobiles devant ma guérite, oui encore pendant la nuit, allaient…”
Fig. 6.
D’interrogatoire de Nastassia Pavlovna Zykova de la paysanne du village de Koptiaki: “… Après Petr du jour dans quelques jours, je me rappelle bien que mercredi, notamment le premier mercredi, après Petr du jour, j’avec le fils Nikolaï et sa la femme Maria suis partie à Ekaterinbourg… Nous sommes partis alors à trois heures, au début de quatrième. Je Vous indique le temps, puisque je dans la maison ai des heures, et je me rappelle en effet qu’alors ce temps sont partis de la maison…”
“… Se sont éloignés du village de la verste sur 4, ont traversé le pont sur une grande fenaison; ne sont pas arrivés jusqu’à terrain “Quatre frères” près de la verste, comme soudain chemin faisant à la rencontre d’eux sont arrivés à califourchon sur les chevaux deux soldats de l’Armée rouge. (Sur la photo 16 à gauche deux chicots vieux restées de quatre pins – auteur.)
Photo 15. Le terrain “Quatre frères”.
Un d’eux était habillé comme le matelot. Le dernier au-dessus de leurs têtes est devenu brandir par le revolver a ordonné sévèrement de ne pas regarder en avant, immédiatement rebrousser chemin le cheval… Le fils Nikolaï disait, que par-devant sur le chemin, il voyait la troupe, le convoi, comme si, deux automobiles…”
De les déclarations supplémentaires