Ma verge est aussi dure qu’une canalisation de Prillon, si je ne la baise pas immédiatement, je vais à coup sûr jouir dans mon froc. Les colliers nous relient, je sens non seulement le désir persistant de Jessica, mais également la hâte d’Ander. Notre connexion est intense, forte, torride. Je jette un œil à Ander, qui hoche imperceptiblement la tête.
On va la sauter. Grâce aux colliers, on va satisfaire tous ses désirs. On saura immédiatement si quelque chose lui déplaît. On va commencer.
« Je suis officiellement une épouse Prillon puisque je porte votre collier ?
– Oui. Tu nous appartiens désormais. Je la pose devant nous, retire la couverture de ses épaules et l’envoie sur la chaise dans le coin. Elle n’a plus besoin de se couvrir. « On va connaître tous tes secrets, Jessica. Tu ne pourras plus rien nous cacher. »
Elle frémit mais baisse ses mains le long de son corps. Elle se tient comme une reine, royale. Mon sexe s’agite au point de sortir de mon pantalon. « Je ne comprends pas. Je ne vous cache plus rien. »
Ander penche la tête et lève un sourcil. « Si, partenaire. Tu te caches, y compris de toi-même. »
Une montée de plaisir envahit notre connexion tandis que Jessica répond à sa voix impérieuse. Elle se lèche les lèvres. « Comme quoi par exemple ? Je suis nue devant vous et je porte votre collier. Qu’est-ce que je pourrais bien vous cacher ?
– Comment tu aimerais qu’on te baise, » répondis-je.
Elle relève le menton et esquisse un sourire.
« Vous allez me dicter ce que j’aime ? » Elle arque un sourcil.
« Non, répondis-je simplement. Ton corps va nous révéler tes secrets inavouables. »
Elle recule tandis que j’avance et je poursuis, « Tu as envie qu’on te défonce.
– Qu’on soit sauvages, » ajoute Ander. Il soulève sa chemise, la passe par-dessus sa tête et la jette par terre.
Elle regarde le torse d’Ander sans bouger.
« Il faut que tu te laisses aller, qu’on te dise ce que tu dois faire.
– Je—non.
– Tu dois céder lorsque tes hommes veulent te baiser, clarifiais-je. Tu as tous les droits lorsque tu es une guerrière mais nue en notre présence, tu dois faire ce qu’on te dit. »
Elle fait un autre pas en arrière, sa poitrine se soulève tandis que son excitation va crescendo. Elle se retourne, la base du plug écarte ses fesses. Mon sexe palpite. Ça me gêne, je défais mon pantalon.
« Et si j’ai pas envie ? Et si c’est vous qui vous trompez ? » Elle lève la main pour toucher sa poitrine et son cou, elle est nerveuse, je trouve ce geste extrêmement touchant. Ce qu’on lui offre lui fait envie mais elle a peur de le prendre.
« Tu nous fais confiance, Jessica ? Tu sais qu’on ne va pas te faire mal ? Tu nous crois quand je te dis qu’on est assez forts et assez sérieux pour te protéger et t’aimer ? Tu nous crois si je te dis que notre seul désir est de te rendre heureuse, et de satisfaire tes envies ? »
Sa main s’immobilise sur son cou, elle regarde le sol pendant de longues secondes qui nous paraissent un siècle, à Ander et moi. Il retient son souffle. On retient tous les deux notre souffle, on attend sa réponse, on attend sa permission pour la sauter. Cette femme fragile tient nos cœurs et notre bonheur entre ses mains.
Je m’avance vers elle, je l’attire dans mes bras enfin que son oreille repose sur ma poitrine, au niveau de mon cœur. Je l’enlace étroitement, je caresse la courbe de son dos et de sa hanche d’une main tandis qu’Ander la regarde avec un désir croissant, je sais que j’ai exactement le même regard. Je mets mon autre main dans ses cheveux, je l’attire doucement contre moi, comme un cristal précieux.
« Tu entends le battement de mon cœur ? Il bat pour toi. Toutes les cellules de mon corps sont pour toi, pour que tu te sentes bien, pour ta sécurité, pour ton plaisir. Les colliers que nous portons autour du cou indiquent que tu nous appartiens, partenaire, mais en fait, c’est nous qui t’appartenons. Nous sommes exclusivement à ton service. Nous combattrons pour toi, nous tuerons pour toi, nous mourrons pour toi. Nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour que tu te sentes en sécurité, protégée et aimée. Si tu nous y autorises, Jessica. » Je prends son visage dans ma main et tourne sa tête afin de regarder ses yeux bleu clair. « Dis oui. Accepte notre lien. Laisse-nous t’aimer.” »
Un mot. C’est tout ce qu’on lui demande pour qu’elle nous appartienne pour toujours. Un mot pour nous libérer, la toucher, la baiser, la marquer à jamais.
« Oui. »
Je l’embrasse doucement, tendrement pour la récompenser de son cadeau. Je ne proteste pas lorsqu’Ander tend la main et l’attire vers lui. Je sais qu’il meurt d’envie de la toucher lui aussi.
J’enlève ma chemise et la jette à terre tandis qu’Ander conduit Jessica vers le lit. « Mais d’abord, chère partenaire, on va te punir.
– Punir—quoi ? Pourquoi ? »
Il contourne le lit, l’accule de façon à ce qu’elle n’ait pas d’autre choix que de grimper sur le matelas. Ce n’est que lorsque ses genoux sont sur le lit que je lâche sa main et glisse mon bras autour de sa taille. « Ton entêtement à désobéir à Nial tout à l’heure nous a conduit à blesser deux de nos frères et à saccager la salle d’examen du docteur.
– J’ai dit que j’étais désolée. Je ne savais pas. » Elle est à quatre pattes, il caresse ses fesses nues tout en murmurant à son oreille.
« Ce n’est pas suffisant. Tu t’es mise en danger pour rien, partenaire, bien que Nial t’ait avertie. Tu as réfléchi à ce qui aurait pu arriver si Nial ou moi n’avions pas remporté le défi ? » Sa main s’abat durement sur ses fesses nues.
Pan !
L’empreinte rouge d’une main se matérialise et elle lutte pour retenir son souffle, elle va devoir y passer. Elle rougit tandis qu’Ander lui frappe à nouveau les fesses. « Qu’est-ce qui vous prend putain ? »
Ander secoue la tête. « Surveille ton langage, partenaire. »
Il la fesse de nouveau. Encore.
Elle halète, ses tétons durcissent et elle ferme les yeux tandis que je sens l’excitation envahir son vagin. « C’est stupide. Je suis pas une gamine.
– Non, effectivement. Tu es à moi. Tu es à Nial. On va te donner du plaisir. On va s’occuper de toi. En cas de danger, on te protègera. » Pan. Pan. « Si tu te ligues contre nous et te mets en danger, on te punira. On te donnera la fessée jusqu’à ce que tes fesses soient rouge vif et que ton corps te brûle. »
Une sensualité aveuglante s’empare de mon collier tandis qu’Ander lui parle. Je baisse mon pantalon et masturbe ma bite en érection tandis que je l’observe la dominer. Elle mord ses lèvres et gémit, ses seins balancent à chaque coup qu’Ander administre sur ses fesses rondes.
Sa peau parfaite change rapidement de couleur tandis que sa main s’abat à différents