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De l'Administration commerciale opposée à l'économie politique, page 5.
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Ne pourrait-on pas dire: C'est un terrible préjugé contre MM. Ferrier et Saint-Chamans que les économistes de toutes les écoles, c'est-à-dire tous les hommes qui ont étudié la question, soient arrivés à ce résultat: après tout, la liberté vaut mieux que la contrainte, et les lois de Dieu sont plus sages que celles de Colbert.
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Du Système de l'impôt, etc., par M. le vicomte de Saint-Chamans, page 11.
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V. ci-après le chap. XV.
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V. ci-après les chap. 1 Le petit volume, contenant la première série des 2 Cet aperçu a donné lieu plus tard au pamphlet 3 L'auteur a rectifié les termes de cette proposition dans un ouvrage postérieur. Voir 4 Nous n'avons pas en français un substantif pour exprimer l'idée opposée à celle de 5 L'auteur a traité ce sujet avec plus d'étendue dans le XIe chapitre des 6 Voyez, sur le même sujet, le chapitre XIV de la seconde Série des 7 Par ce motif, nous prions le lecteur de nous excuser si, pour abréger, nous désignons dans la suite ce système sous le nom de 8 Il est juste de dire que M. d'Argout mettait cet étrange langage dans la bouche des adversaires de la betterave. Mais il se l'appropriait formellement, et le sanctionnait d'ailleurs par la loi même à laquelle il servait de justification. 9 À supposer que 48,000 à 50,000 hectares suffisent à alimenter la consommation actuelle, il en faudrait 150,000 pour une consommation triple, que M. d'Argout admet comme possible. – De plus, si la betterave entrait dans un assolement de six ans, elle occuperait successivement 900,000 hectares, ou 1/38e du sol cultivable. 10 Voyez, sur le même sujet, le chapitre XVI de la seconde Série des 11 M. le vicomte de Romanet. 12 Mathieu de Dombasle. 13 Il est vrai que le travail ne reçoit pas une rémunération uniforme. Il y en a de plus ou moins intense, dangereux, habile, etc. La concurrence établit pour chaque catégorie un prix courant, et c'est de ce prix variable que je parle. 14 La théorie esquissée dans ce chapitre est celle qui, quatre ans plus tard, fut développée dans les 15 Voir 16 Voir, au tome V, le pamphlet 17 En mars 1850, l'auteur fut encore obligé de combattre le même sophisme, qu'il entendit produire à la tribune nationale. Il rectifia la démonstration précédente en excluant de ses calculs les frais de transport, etc. Voir la fin du tome V. 18 Cette pensée revient souvent sous la plume de l'auteur. Elle avait à ses yeux une importance capitale et lui dictait quatre jours avant sa mort cette recommandation: «Dites à de F. de traiter les questions économiques toujours au point de vue du consommateur, car l'intérêt du consommateur ne fait qu'un avec celui de l'humanité.» 19 V. le chap. V de la seconde série des 20 V. au tome VI, le chap. XIV des 21 22 Ne pourrait-on pas dire: C'est un terrible préjugé contre MM. Ferrier et Saint-Chamans que les économistes 23 24 V. ci-après le chap. XV. 25 V. ci-après les chap. XVIII, XX, et à la fin de ce volume, la lettre à M. Thiers, intitulée 26 V. au tome Ier, la 1re lettre à M. de Lamartine et, au tome VI, le chap. I, des 27 V. le pamphlet 28 V. dans la seconde série des