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Nous n'osons interpréter ces initiales, qui ne sont pas les mêmes dans tous les textes. Certains manuscrits portent Mlle D. L.
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Marie-Elisabeth de Ludres, chanoinesse de Poussay, tour à tour fille d'honneur de Madame Henriette, de la Reine et de la seconde Madame.
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Les éditions qui se sont écartées du texte primitif y rentrent pour un instant, depuis cette phrase. Voy. plus haut.
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La princesse Palatine, mère du Régent, représente Mlle de Fontanges comme «charmante, mais sans esprit.» – «Elle étoit décidément rousse, mais belle comme un ange de la tête aux pieds. C'étoit une femme furieusement romanesque.»
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Mademoiselle de Fontange ne se distingua pas toujours à la danse: «On m'a dit de bon lieu qu'il y avoit eu un bal à Villers-Cotterets; il y eut des masques. Mademoiselle de Fontange y parut brillante et parée des mains de madame de Montespan. Cette dernière dansa très-bien. Fontange voulut danser un menuet; il y avoit longtemps qu'elle n'avoit dansé: il y parut; ses jambes n'arrivèrent pas comme vous savez qu'il faut arriver. La courante n'alla pas mieux, et enfin elle ne fit plus qu'une révérence.» (
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Ces tapisseries, exécutées aux Gobelins d'après les tableaux, existent encore au palais de Saint-Cloud. L'œuvre du peintre est au Louvre.
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Louis XIV restoit dans les traditions de Henri IV et de la plupart des seigneurs de son temps. On sait combien on trouve, dans les œuvres des poètes, de pièces écrites par eux à des dames au nom de leurs protecteurs.
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Le Roi. La
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La propreté signifioit alors l'élégance, le luxe des habits.
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Mad. L. D. M.
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Manchini.
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La Vallière.
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Montespan.
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Du Lude.
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La C. H. N. S.
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Flatterie de M. D. S. (de M. de Saint-Aignan, auteur de la pièce).
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Conduite de Madame de F. T.
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Le Roi.
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On appeloit «cassation de soudrilles» le licenciement des troupes.
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Passe-temps royal.
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Le doux moment.
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On les appela dans la suite
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Madame la duchesse d'Arpajon. (
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Les éditions modernes donnent seule cette variante, qui supprime l'hiatus:
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Madame de Montespan.
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C'est le célèbre ouvrage de Malebranche.
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Ces lettres, initiales des mots: maîtres de ton sort, semblent mises ici pour dérouter la recherche; mais, dans les notes qui suivent, nous croyons avoir donné le mot de l'énigme.
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Le lion désigne évidemment M. de Lyonne, ministre et secrétaire d'Etat, dont voici les armes: il portoit écartelé au premier et quatrième de gueules à la colonne d'argent mise en pal, au chef d'azur chargé d'un
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F. Séguier, chancelier de France, portoit d'azur au chevron d'or, accompagné de deux étoiles en chef de même, et d'un
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Michel Le Tellier, marquis de Louvois, ministre et secrétaire d'Etat, portoit d'azur à trois
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Les textes imprimés portent:
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Colbert portoit d'or à la
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Jeanne Pelagie de Chabot-Rohan, seconde femme d'Alexandre Guillaume de Melun, prince d'Espinoy. Elle se maria le 11 avril 1668, devint veuve le 16 février 1679, et mourut le 18 août 1698.
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Voy. t. 2, p. 469.
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Ceci est en contradiction avec ce que l'on a vu ailleurs de sa réserve, qui étoit qualifiée d'égoïsme.
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Guillaume de La Baume le Blanc de La Vallière, oncle de la duchesse de La Vallière, se démit de l'évêché de Nantes en 1677.
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M. de Beauveau. Guillaume de La Baume le Blanc de La Vallière, évêque de Nantes, eut pour successeur à ce siége Gilles de Beauveau, son neveu, fils de François de Beauveau et de Louise de La Baume le Blanc.
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M. de La Baume le Blanc. – La première édition seule donne ces initiales.
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Sébastien de Rosmadec, quatrième du nom, marquis de Molac, qui avoit épousé Catherine Gasparde de Scorraille, sœur de mademoiselle de Fontange. Voy. t. 2, p. 469.
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«J'avois une fille d'honneur nommée Beauvais, dit la princesse palatine, mère du régent; c'étoit une personne fort honneste. Louis XIV en devint très amoureux; mais elle tint bon. Alors il se tourna vers sa compagne, la Fontange, qui étoit charmante aussi, mais sans esprit.» – L'initiale de notre texte a sans doute ici son explication.
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Marie Anne-Christine-Victoire de Bavière, fille de Ferdinand-Marie, duc de Bavière, électeur du Saint-Empire, et d'Adélaïde-Henriette de Savoie, épousa le 28 janvier 1680 Louis, dauphin de France, fils de Louis XIV.
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Toute la fin de cette histoire, écrite du vivant de mademoiselle de Fontange, a été changée dans les éditions faites après sa mort. Nous avons suivi le texte le plus ancien. On a lu dans la
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Madame de Sévigné a fait aussi la comparaison de mademoiselle de Fontange et de madame de La Vallière, mais tout à l'avantage de la seconde: «