«L’exercice libre de la religion chrétienne était garanti dans l’intérieur des églises. Toute église existante devait être conservée; mais il n’en pouvait point être bâti de nouvelles sans l’autorisation du chef musulman.—Les lois anciennes du pays étaient maintenues.» (Hugo,
«Les conditions imposées par les généraux musulmans aux villes conquises n’étaient ni trop onéreuses ni trop humiliantes, comparées au sort qui, à cette époque de barbarie, pesait sur les habitants des villes tombées au pouvoir d’ennemis chrétiens comme eux.» (Hugo,
«Dans les cérémonies publiques, à Messine, on déployait deux étendards. Le premier, qui appartenait aux Sarrasins, représentait une tour de couleur noire sur un champ vert; le second, qui servait aux Chrétiens, portait une croix d’or brodée sur un champ rouge.» (Ebn-Khaldoun,
«Abdoulah, conformément à la loi mahométane, et pour éviter l’effusion du sang, offrit la paix à Grégoire en lui donnant à choisir d’embrasser l’islamisme ou de se rendre tributaire du calife.» (Cardonne,
«On sait que de tout temps l’islamisme offrait aux vaincus deux partis: embrasser la foi musulmane ou payer tribut aux vainqueurs.» (Ebn-Khaldoun.)