7. Among his correspondents was the young Duc d'Enghien, afterwards the Great Condé, at this time fifteen years old. "Dieu soit loüé! tout le ciel de nostre chere Patrie nous promet de fauorables influences, iusques à ce nouuel astre, qui commence à paroistre parmy ceux de la premiere grandeur."—Le Jeune, Relation, 1636, 3, 4.
8. "Que si celuy qui a escrit cette lettre a leu la Relation de ce qui se passe au Paraguais, qu'il a veu ce qui se fera un jour en la Nouuelle France."—Le Jeune, Relation, 1637, 304 (Cramoisy).
9. Chaulmer, Le Nouveau Monde Chrestien, 41, is eloquent on this theme.
10. Le Clerc, Établissement de la Foy, Chap. XV.
11. Le Jeune, Relation, 1636, 153, 154 (Cramoisy).
12. For Giffard, Puiseaux, and other colonists, compare Langevin, Notes sur les Archives de Notre-Dame de Beauport, 5, 6, 7; Ferland, Notes sur les Archives de N. D. de Québec, 22, 24 (1863); Ibid., Cours d'Histoire du Canada, I. 266; Le Jeune, Relation, 1636, 45; Faillon, Histoire de la Colonie Française, I. c. iv., v.
13. See "Pioneers of France," 399.
14. This appears in many early grants of the Company. Thus, in a grant to Simon Le Maître, Jan. 15, 1636, "que les hommes que le dit … fera passer en la N. F. tourneront à la décharge de la dite Compagnie," etc., etc.—See Pièces sur la Tenure Seigneuriale, published by the Canadian government, passim.
15. Archives du Séminaire de Villemarie, cited by Faillon, I. 350. Lauson's father owned Montreal. The son's grant extended from the River St. Francis to a point far above Montreal.—La Fontaine, Mémoire sur la Famille de Lauson.
16. It is a principle of the Jesuits, that each of its establishments shall find a support of its own, and not be a burden on the general funds of the Society. The Relations are full of appeals to the charity of devout persons in behalf of the missions.
"Of what use to the country at this period could have been two communities of cloistered nuns?" asks the modern historian of the Ursulines of Quebec. And he answers by citing the words of Pope Gregory the Great, who, when Rome was ravaged by famine, pestilence, and the barbarians, declared that his only hope was in the prayers of the three thousand nuns then assembled in the holy city.—Les Ursulines de Québec. Introd., XI.
17. "Pour leur representer la gehenne où estoient les consciences de la Colonie, de se voir gouverné par les mesmes personnes pour le spirituel et pour le temporel."—Le Clerc, I. 478.
18. Declaration de Pierre Breant, par devant les Notaires du Roy, MS. The Order was that of the Capuchins, who, like the Récollets, are a branch of the Franciscans. Their introduction into Canada was prevented; but they established themselves in Maine.
19. "La Nouuelle France est vn vray climat où on apprend parfaictement bien à ne chercher que Dieu, ne desirer que Dieu seul, auoir l'intention purement à Dieu, etc.… Viure en la Nouuelle France, c'est à vray dire viure dans le sein de Dieu, et ne respirer que l'air de sa Diuine conduite."—Divers Sentimens. "Si quelqu'un de ceux qui meurent en ces contrées se damne, je croy qu'il sera doublement coupable."—Relation, 1640, 5 (Cramoisy).
20. Relation, 1637, 8. The Relations, as originally published, comprised about forty volumes.
21. Histoire de la Colonie Française, I. 291, 292.
22. Relation, 1637, 82.
23. Vimont, Relation, 1640, 6.
24. Le Jeune, Relation, 1638, 6.
25. Le Jeune, Relation, 1639, 3.
26. Le Jeune, Relation, 1637, 122 (Cramoisy).
27. Ibid., 1636, 119, and 1637, 32 (Cramoisy). "La crainte est l'auan couriere de la foy dans ces esprits barbares."
28. Le Jeune, Relation, 1637, 80-82 (Cramoisy). "Avoir faim et ne manger que des serpens et des crapaux, avoir soif et ne boire que des flammes."
29. "Les heretiques sont grandement blasmables, de condamner et de briser les images qui ont de si bons effets. Ces sainctes figures sont la moitié de l'instruction qu'on peut donner aux Sauuages. I'auois desiré quelques portraits de l'enfer et de l'âme damnée; on nous en a enuoyé quelques vns en papier, mais cela est trop confus. Les diables sont tellement meslez auec les hommes, qu'on n'y peut rien recognoistre, qu'auec vne particuliere attention. Qui depeindroit trois ou quatre ou cinq demons, tourmentans vne âme de diuers supplices, l'vn luy appliquant des feux, l'autre des serpens, l'autre la tenaillant, l'autre la tenant liée auec des chaisnes, cela auroit vn bon effet, notamment si tout estoit bien distingué, et que la rage et la tristesse parussent bien en la face de cette âme desesperée"—Relation, 1637, 32 (Cramoisy).
30. "Ce seroit vne estrange cruauté de voir descendre vne âme toute viuante dans les enfers, par le refus d'vn bien que Iesus Christ luy a acquis au prix de son sang."—Relation, 1637, 66
"Considerez d'autre coté la grande appréhension que nous avions sujet de redouter la guérison; pour autant que bien souvent étant guéris il ne leur reste du St. Baptême que le caractère."—Lettres de Garnier, MSS.
It was not very easy to make an Indian comprehend the nature of baptism. An Iroquois at Montreal, hearing a missionary speaking of the water which cleansed the soul from sin, said that he was well acquainted with it, as the Dutch had once given him so much that they were forced to tie him, hand and foot, to prevent him from doing mischief.—Faillon, II. 43.
31. Enemies of the Jesuits, while denouncing them in unmeasured terms, speak in strong eulogy of many of