Il passait son temps tantôt à penser à Leyana tantôt à penser aux choses qu'il aurait dû être en train de faire. Ils allaient de village en village, distribuaient les victuailles qu'ils avaient, ramenaient chez eux des appelés qui en avaient été arrachés et rassuraient les gens de leur mieux en leur disant que la rébellion ne serait pas une autre bande de tyrans.
Tous les jours, il essayait de préparer quelque chose à dire et, tous les jours, au moment de bivouaquer, il se rendait compte qu'il n'avait rien dit.
“Tu vas bien ?” demanda Leyana avec un sourire. Elle avait pris l'habitude de chevaucher dans le même chariot que Sartes, et Sartes était bien obligé d'admettre qu'il aimait ça. Le soir, quand ils bivouaquaient, la tente de Leyana n'était jamais loin de la sienne. Sartes aimait aussi ça. Il était reconnaissant du fait que, s'ils devaient être attaqués, il pourrait se ruer vers elle pour la sauver.
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