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Michelet,
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“Sa tente était entourée de quatre cents autres, où logeaient tous les seigneurs de sa cour et les serviteurs de sa maison. Au dehors brillait l’écusson de ses armes, orné de perles et de pierreries; le dedans était tendu de velours rouge brodé en feuillages d’or et de perles; des fenêtres, dont les vitraux étaient enchâssés dans des baguettes d’or, y avaient été ménagées. Le fauteuil, où il recevait les ambassadeurs et donnait ses solennelles audiences, était d’or massif, etc.” (“His tent was surrounded by four hundred others, where all the knights of his court and servants of his household were living. On the outside gleamed the escutcheon emblazoned with his arms, decorated with pearls and gems; the inside was hung with red velvet embroidered with leaves of gold and pearls. Windows had been put in to the walls of the tent, with stained glass set into gold. The chair, in which he received ambassadors and gave solemn audiences, was made of solid gold, etc.”)
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“De weduwe Wilhem Vreylands.”
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Two new shutters mentioned in the guild’s accounts at that time cannot be attributed to Memling, since the records concerning him speak only of two wings painted by him.
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“Ce Jan Floreins figure sur le grand comme sur le petit tableau, apparemment parce qu’il en avait payé la dépense, que je n’ai pu trouver renseignée dans les comptes de l’hôpital, quoique que j’y aie bien vu le nom de ce frère. – L’emploi du jaugeur public appartenait de temps immémorial à l’un des frères de l’hôpital, et j’en ai vu un nombre considérable de mentions dans les comptes de la maison, depuis le XIIIe siècle jusque bien après l’époque de Jan Floreins. Le produit de cet emploi est renseigné habituellement dans les comptes, mais sans indication de celui qui l’exerçait. On voit encore aux archives de cet établissement, outre quelques traités manuscrits de jaugeage, du XVe siècle, une très ancienne jauge, appelée
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At that time, most started at the age of twenty-five.
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The French can admire these exquisite hands in the painting in the Louvre, which was owned at one time by the Count Duchâtel.
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The Mother Superior who communicated these facts to the critic Passavant told him that she had taken them from the hospital archives, to which she refused him entrance. The traveller put them in an article for
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Guillaume de Herle, based in Cologne and claimed by Germany as one of their own, was in fact Flemish; he was born in the Flemish-speaking village of Herle (now Heerlen), in the Dutch province of Limburg, three leagues from Maastricht.
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“Le peintre de sainte Ursule, dit Nagler, aimait les bords du Rhin, et ses paysages en rappellent les sites. Ce fut dans ces régions qu’il trouva les types des personnages figurés sur la châsse. La ville de Cologne ellemême y est représentée deux fois d’une manière exacte avec quelques-uns de ses principaux monuments. Rien, au contraire, n’atteste la connaissance des anciens édifices de Rome.” (“The painter of Saint Ursula, says Nagler, loved the banks of the Rhine, and these landscapes evoke these places. It was in these regions that he found the types of people featured on the shrine. The city of Cologne itself is represented twice in a precise way with some of its principal monuments. Nothing, in fact, demonstrates knowledge of the ancient edifices of Rome.”)
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Litterally: “L’année mil quatre fois cent, huit fois-dix, moins un iota” (“The year one thousand, four hundred and eighty, less an iota”) that is, less one unit.
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This painting, which was owned by
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The original deeds are reproduced in the