Ornithology was an important ancillary interest. Boban hunted and trapped birds and had them mounted, or may have learned to mount them himself through the many collecting manuals available at the time. Birds were incredibly plentiful in the central valley in the nineteenth century, even as late as 1892, when the American naturalist Edward Nelson described what he saw in the principal market of Mexico City. “At the market of the Merced southeast of the main plaza, by the border of the canal and in the midst of the poorer quarter of the town, surrounded by hundreds of pulque shops with gaudily ornamented fronts and interiors, there is a great gathering place of Indians of Aztec descent from the valley, who bring in here wild ducks by the thousands from the marshy lakes of the valley” (Nelson: SI Archives RU 7634).
In yet another memoir, Boban boasted of having kept numerous rattlesnakes in his collection, which were caught and sold to him by Indians. He kept some alive and preserved others in alcohol. His notes refer to the cult of the snake, perhaps referencing Quetzalcoatl, the feathered serpent, saying that it had deep roots in Mexico. He also believed the Indians had great sympathy for snakes. One of his pet snakes, Lili, enjoyed entertaining, and sometimes frightening, visiting friends with her noisy rattling.
The country was a paradise for him, a veritable Garden of Eden, and the younger Boban created his own commercial enterprise by selling and trading objects and specimens that were simply free for the taking. The 1865 business directory for Mexico City contains an advertisement for his shop, which offers for sale: “Collections of birds from Mexico, typical crafts of the country, ceramic vessels and objects, paintings, weapons, Chinese porcelains, and Aztec antiquities” (Maillefert 1992: 231). This establishment ultimately would propel him into prominence and renown among both foreign and Mexican clientele, generating considerable financial success. In the early days, however, he was simply enjoying life. “My twenty-year residence in this country was for me all digging and fiestas, all of which gives me great pleasure to remember. My good Indians, so peaceful, and with our work, I believe that a kind of kinship brought us together” (HSA: B2244, Box V).
Other memories glowed even brighter. “We were very happy in Mexico during that time, and not much inclined to return to Europe. We were in a very good position, dividing our leisure time between the hunt and the digs, and every day we brought back something new, something never seen before” (HSA: B2244, Box V).9
In reminiscences of his life in Mexico, Boban presents himself as a fearless, knowledgeable explorer who is discerning in his research. In his telling of his exploration of the abyss he seems ready and able to increase the drama of his exploits for the benefit of his audience and enjoys himself while doing so. These characteristics remain constant throughout his career. He continues to be an active investigator in a broad range of fields. He pursues knowledge tirelessly, becoming an expert on pre-Columbian antiquities and other subjects. A battery of international scholars comes to respect his erudition. Yet throughout his career, he expands time and distance, exaggerates his discoveries, and enhances and even misrepresents the importance and quality of his collections. He does this, possibly to increase the perceived value of the objects he sells, possibly to promote his own sense of self-worth, but most likely for both reasons.
Notes
1. Archives.paris.fr.com record #371, naissance [births], 3 March 1862, Paris, 1st arrondissement.
2. Me contait un vieil Israelite Bordelais établi bijoutier-orfevre a Mexico, mort tres vieux et cela depuis plus de trente ans. Je puis vous l’assurer me disait il sur la fin de sa vie c’est moi qui ait fait venir ces pierre fausse d’europe, et qui dit demontés les autres pour les faire vendre a petit a petit sur l’ordre des autorites ecclésiastiques, mais en cachette du gouvernement surtout.
3. Dans le courant de l’année 1858, nous entre d’explorer l’ancienne capital des Acolhuas ou chichimeque. Ce qui reste de cette grand cité aujourd’hui le village de Texcoco, et ses environs. Se trouve une série de collines l’une d’elle momie Texcutzingo.
4. Je pénêtra donc seul dans la fameuse cueva dont l’entrée était enpartie cachée par la végétation c’était une petite galerie percée horizontalement sur le flau de la montagne. D’un dizaine de metres de long, aboutissant à une sorte de précipice vertical, irregulier dont la profondeur ne dépassait …—mais rien d’anormal … puis quelques squelettes, d’animaux, renards, et oiseaux de proie, a chaque instants j’entendrais mes guides qui me criaient Señor, hace tanto tiempo, que le ha sucedido que no nos conteste. Etes-vous mort, et une foule de questions du même genre. Je me faisait un malin plaisir de garder le silence. Après avoir bien examine l’endroit, j’avais laisse mon carte.
5. Ces belles lames en silex et en obsidienne affectant la forme de sa feuille de laurier (connue en Europe et classé par le Prof. Gabriel de Mortillet, pour celles trouvier en France surtout qui on dureste beaucoup d’analogie, il les a nomée lames solutriennes). Au Mexique on les connais sous le nom de tecpatl, ou lames de couteau de sacrifice pour ouvrir la poitrine des victimes et leur arracher la coeur.
6. Le même jour après avoir remuer bien de la terre j’ai retrouvé moi même deux autres superbes tecpatl ma joie était grande et seul ceux qui ont pratique des fouilles pour tout comprender le plaisir qui j’en éprouvais.
7. No, compadrito, aparte los sacrificios, no hemos mejorado mucho con la llegada de los españoles.
8. Ayant habité le mexique pres d’un ¼ de siècle nous avons suivés ces petit Fénix de la gente ailée nous en avons elevés, … Ils disparaissent cela est certain, mais comme nos hirondelles en Europe, qui émigrent vers des contrées plus douces, non sans doute par crainte du froid, mais parce que les petits insects, les moustiques qui forme leur nourriture disparaissent, se cachent; c’est ce qui les force a émigrés. Le colibris se conduit de la même manière quand les fleurs disparaissent ou au moin certaines classes de celui-ci, et pour cela quelques heures lui suffises il n’a qu’a traverser la chaine des hautes montagnes qui entoure le plateau de Mexico, vers le sud, et immédiatement il est en terre chaude ou de nouvelles fleurs contenant aussi des petits insects. … Puis comme les hirondelles ils reviennent a la saison, … On les voit alors apparaître en volant dans les jardin de la ville et jusque dans les maisons et autours des pots de fleurs placés dans les vestibules et sur les fénêtres. … On les conserves mieux dans des chambres spacieuses au soleil avec des fleurs et surtout du miel cuit, car l’eau sucrée leur donne la diarrhée au bout de fort peu de temps. Nous en avons gardés vivants plusieurs mois. On ils sont assez familiers, mon père leur apportait des fleurs des champs ces charmantes petites bêtes l’entourerait et plusieurs variantes le posées sur les bords de ses lunettes.
9. A cette époque fort peu disposé a revenir en Europe, nous [étions] très heureux au Mexique [dans] une très bonne position, partagean nos loisir entre la chasse et les fouilles, qui nous rapportait toujour quelque chose d’inconnue.
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