– Fumé, crétin, avant la tonte. Et le bourdonnement du vent, en général, a démoli la tour du pauvre homme et il lui a semblé qu’il était en train de tondre les mouches sur les plans des planifiés, à votre avis – des passeurs de drogue. Et puis, par type, les pentes ont brûlé. Eh bien, il est à blâmer.
– salut hah hoh hein hein. – Klop gloussa et Harutun pendit quelque part dans le Caucase … – et quoi, ils s’accrochaient?
– Oui, dans une heure. Et le tracteur a volé dans le canal.
– Amusant, apchi, là-bas. -Arutun a aspiré une morve.
– Ouais, amusant. – Idot soutenu. – Eh bien, j’y suis allé!
– Hehehehehe … – La punaise a lentement cessé de rire. – Vas-y, et demain midi tu viendras. Vous allez toujours le frotter, puis nous vous attraperons à nouveau, nous vous emmènerons et nous vous planterons définitivement.
– pour quoi? – Idot a été surpris et a sangloté.
– Harutun, obtenez son abonnement pour ne pas partir. – Le virus s’est levé et s’est cambré.
– Ou peut-être que nous serons d’accord? – Idot suggéré, qui a immédiatement cessé de pleurer. – Demain tu viendras avec un cochon, on verra. Tous les deux sortent. Je suis fatigué La journée de travail est terminée.
– Allez, apchi, idiot. – suggéra Harutun et se dirigea vers la sortie.
– Idot. – suivit le caporal.
– … Et avec un cochon, vous apportez un bélier à moi. Compris -Arutun s’est arrêté et a sauté Idot devant. Quand Idot prit la tête, Harutun lui donna un coup de pied dans le cul et le poussa dans le dos, riant fort…
Ils sont bientôt partis et Ottila est allé à la maison pour le dîner…
Apulase SECOND
Ottila ouvrit ses yeux rétrécis et examina inexplicablement la cuisine. Il y avait un paria et il avait terriblement envie de manger, mais la table était vide.
– Qu’est-ce que c’était? pensa-t-il. – C’est couvert!
Je décongelai mes larmes de ma chaise et je voulais seulement commencer à rassembler de la nourriture sur la table, alors qu’il était protégé par un gémissement paisible et heureux venant des chambres à coucher de la partie résidentielle de la cabane.
– Sarah? – vacilla dans sa tête. – Mais elle …?!
Sarah était la première fille d’Ottila et Isolde, mais elle avait un défaut congénital, c’est-à-dire qu’elle était sourde des deux oreilles depuis la naissance, aveugle des deux yeux et muette, autrement dit aveuglément muette et qu’elle n’avait donc pas besoin d’être représentée auparavant. Mais le moment est venu, surtout depuis que les gémissements provenant des profondeurs de la hutte lui ont appartenu. À propos, Dieu lui a décerné une belle figure et un joli visage.
Mais il a été embarrassé par une autre nouvelle diffusée par un médecin de Saint-Pétersbourg, le lendemain de l’examen, lorsque Sarah est tombée malade et que son père pensait sérieusement à elle.
– Elle est enceinte, sire, et cela la rend malade. – le médecin a rapidement conclu.
– Et qui est le père? Après tout, personne ne vient à elle?! – Klop surpris. – Outre les ménages.
– Inconnu. Des tests ADN peuvent être effectués, mais cette intervention peut interférer avec le développement de l’enfant. Quand vous serez né, alors vous verrez: le père est un nègre ou un chinois. – répondit le docteur et s’éloigna rapidement. Izzy le suivit.
– Docteur, merci de ne pas m’avoir abandonné.
– Tout d’abord, merci de ne pas vous procurer…
– Oh, désolé, doc. – et Izya a sorti un chéquier de sa poche et a déchiré le chèque avec le numéro indiqué précédemment et l’a remis au médecin.
– Mais sachez que le médecin tendit la main au chèque. – le mélange du sang, c’est une chose dangereuse. Dans quatre vingt neuf cas, le fœtus peut sembler très faux.
– Comment ça?
– Un monstre peut être né.
– Qui??? – a aboyé de l’autre côté de la punaise et s’est échappé vers les interlocuteurs.
Qu’est-ce qui se passait? Il s’avère qu’Izzy et Sarah sont devenues des adultes en même temps. Mais la vie c’est la vie.
Ottila le supporta le lendemain, car il est lui-même le fils d’un cannibale. Alors quoi?
…Soudain, la porte du bureau de la base fut frappée violemment et Ottila se recroquevilla.
– Encore une fois n’a pas verrouillé la porte dans le support. – Punaise de lit outragée.
Dans cette moitié de la caserne, les sons d’Arutun entraînant de force le fait de traîner quelqu’un étaient résolus.
– Harutun traîne à nouveau quelqu’un. murmura Klop et regarda sa montre. – Oh, yo-mayo! Déjà trois nuits?!
Harutun apparut dans la porte de la cuisine et s’écria:
– Dans! Je l’ai attrapé! – et jeté au milieu du vieil homme, qui a passé trente-huit ans dans les zones. Cela était évident d’après les tatouages sur tout le corps. Ses tatouages se réchauffaient comme une chemise et il ne se promenait que dans son caleçon et même en hiver. Le vieil homme se figea dans l’attente du battement.
– Qu’est-ce que c’est? demanda Klop.
– Wooh, apchi, ce shnir le même chanvre frotté à la poubelle, et a même signé la grand-mère Key. -Arutun se pencha sur le montant avec son coude.
– Ouais?! – Klop surpris. – Et quoi, elle se frotte aussi?
– Oui, même comment, elle a fait une telle raclée, et a sorti une boule de billard de sa poche.
– Est-ce que tout est hash? – Il a étendu sa main et a pris la balle. Il la tourna au visage, renifla, la lança. – Quinze ans vont tirer. Confisquer Eh bien, que dites-vous, grand-père?
– Il ment. – le vieil homme accroupi sur le sol. – ce n’est pas mon truc.
– Et à qui? apchi.
– Le tien, c’est lui… et nous pend, et Claudia et moi avons juste baisé dans les buissons. En général, cette merde de cheval.
– quoi? – Explose d’Intéphalopathe. – Il est intéressant de voir ce que le cheval a fait dans la décharge, l’herbe cueillie, qui ne pousse pas là-bas? Ou du matériel? Et le chanvre était en train de manger, la vie filait à la surface, le propriétaire – merde, a décidé d’oublier. Et puis ça s’impatiente.
– Non, je me suis souvenu. Un berger passait par là. Il ramassa un sac ou le frotta et partit. Et quoi? C’est populaire, sans sécurité, mais il n’y a pas d’argent pour les glissements. Et donc je veux oublier. Alors le berger est entré.
– Putain, vous dites? – Le virus est monté sur une chaise. – Il n’est pas difficile de vérifier à la clinique le matin.
«Qui écoutez-vous, patron, apchi,» sourit Harutun. – C’était comme ça: la grand-mère Klava est nue, toute maculée de vaseline, vous, parce qu’elle ne pouvait pas la repousser? J’ai couru autour de la corbeille, me perdant dans les buissons de chanvre.
– en cours d’exécution? – sourit le vieil homme.
– Au début, vous lui avez montré, mais vous sentez mauvais et