Dans un documentaire ‘L’Amérique reconstruit’ en 2002 de Public Broadcasting Service (PBS), Silverstein admet être complice de la démolition contrôlée du WTC-7, d’un gratte-ciel de 47 étages qui s’est effondré en 6,5 secondes et pour lequel il a reçu 861 millions de dollars de son assurance. Les experts en démolition ont depuis soutenu que la manière dont les bâtiments du WTC se sont effondrés ne pouvait être causée que par des explosifs de démolition, et il existe assez d’informations sur Internet montrant l’implication israélienne dans les attentats du 11 septembre.
En dehors de Silverstein, la saga juive du 9 septembre comprenaient Ronald S. Lauder – un membre du conseil d’administration du comité de privatisation de New York – qui avait poussé à la privatisation du WTC, Lewis Eisenberg – président de l’autorité portuaire de New York – qui avait autorisé la vente du complexe du WTC à Silverstein, Jules Kroll – propriétaire de Kroll Associates – qui avait pour contrat de gérer la sécurité du WTC, Jerome Hauer – qui dirigeait Kroll Associates et qui était directeur du bureau du Mayor Rudy Guiliani de gestion des urgences de 1996 à 2000, le rabbin Dov Zakheim – de System Planning Corporation qui possédait la technique de prendre le contrôle d’avions et de les commander à distance et était le contrôleur du Pentagone du 4 mai 2001 au 10 mars 2004 ayant supervisé la disparition de deux grosses sommes d’argent du Pentagone d’une valeur de près de 2,3 trillions de dollars reportée disparue par le secrétaire de la défense Donald Rumsfeld, Michael B. Mukasey – le juge qui a supervisé le litige entre Silverstein et les compagnies d’assurance suite au 9 septembre – qui s’est assuré que Silverstein reçoit une récompense de milliards de dollars, Michael Chertoff – un citoyen américain à double nationalité – qui était l’assistant du procureur général de la division criminelle du ministère de la justice avant de devenir le directeur de la sécurité intérieure, Richard Perle – autrement connu sous le nom de ‘Prince des ténèbres’ – qui était le président du conseil politique de la défense au Pentagone à l’époque du 9 septembre et qui fut licencié de Sen dans les années 70, Henry Jackson pris sur le fait par la NSA en train de transmettre des documents classifiés à Israël, Paul Wolfowitz – qui était secrétaire adjoint de la défense – et membre du conseil de la politique de défense du Pentagone à l’époque du 9 septembre, Eliot Abrams – un conseiller clé du conseil national de sécurité malgré sa condamnation au congrès pour l’affaire Iran/Contra Affair et pardonné plus tard par le président Bush – qui était associé aux groupes de réflexion sionistes/pro-israéliens criminels l’AEI, le PNAC, le CSP et le JINSA, ainsi que Perle, Feith, Wolfowtiz et Bill Kristol.
Peu de temps après le 11 septembre, plus de 140 israéliens furent arrêtés pour espionnage, nombreux d’entre eux s’étaient fait passer pour des étudiants en art. Les suspects avaient ciblé et pénétré les bases militaires, la DEA, le FBI, les services secrets, l’ATF, les douanes américaines, l’IRS, l’INS, l’EPA, le ministère de l’intérieur, le département Marshal américain, plusieurs bureaux d’avocats américains, des bureaux secrets du gouvernement et même les maisons privées non répertoriées des forces de l’ordre/agents de renseignement. La plupart des suspects ont servi dans des services de renseignement militaires, d’interception de surveillance électronique et/ou des unités d’ordonnance explosives. Des dizaines d’israéliens furent arrêtés dans des kiosques de centres commerciaux américains travaillant sous couverture pour une opération d’espionnage. Soixante suspects détenus travaillaient pour la société israélienne AMDOCS, offrant des appels d’assistance-annuaire et presque tous les services d’appels et de facturations des services des États-Unis grâce à des contrats signés avec les 25 plus grandes compagnies de téléphone américaines.
Après le 9 septembre, le maire de New York Rudolph ‘Rudy’ Giuliani avait procédé au déblaiement immédiat du site avec près de 120 camions-bennes de 1,5 millions de tonnes de débris encore en combustion – contenant des parties de corps et des preuves primordiales qui furent détruites – dont une grande partie de l’acier déchiqueté fut tamisée à la hâte et vendue à un prix réduit à la société chinoise Baosteel pour empêcher qu’une enquête approfondie sur la scène du crime ne soit réalisée. Une attaque qui avait été la cause du plus grand nombre de victimes et de dommages de propriétés jamais connue dans toute l’histoire des États-Unis. Giuliani a par la suite menti et changé son histoire en affirmant qu’il avait soi-disant reçu un avertissement au sujet de l’effondrement des tours jumelles qu’il n’avait pas transmis aux autres.
Une autre conséquence du 9 septembre était le danger pour la santé aux milliers de personnes présentes sur les lieux et aux premiers intervenants des services d’urgence qui furent engloutis par l’amiante, le benzène, le cadmium, le plomb, le mercure et d’autres particules toxiques, desquels ils souffrent toujours et continuent à mourir du cancer malgré les confirmations répétées à l’époque de Chritine Todd Whitman, l’administrateur de l’Agence de protection de l’environnement, que l’air était sans danger à respirer et que le niveau de contamination était bas ou inexistant - un mensonge audacieux auquel elle s’est obstinément attachée jusqu’à ce jour.
La dissimulation de la vérité fut orchestrée par l’administration Bush et le président pendant 441 jours jusqu’au 27 novembre 2002 en s’opposant à une enquête et en poussant le chef de la majorité du Sénat, Tom Daschle, à restreindre l’enquête du Congrès et à refuser de mettre en place une commission pour enquêter sur les événements tragiques de cette journée. Le fait que le président ait voulu limiter la portée de toute enquête fut affirmé par son choix initial du mégalomaniaque Henry Kissinger comme président hésitant sur la question du conflit d’intérêt qui l’avait conduit à démissionner sans gloire. Sans se laisser décourager, l’administration Bush fit nomma furtivement le juif sioniste Philip Zelikow – un ancien membre de l’ancien Conseil de sécurité nationale de l’administration Bush – directeur exécutif de la Commission qui avait exercé un contrôle criminel et subversif sur la direction et la portée de l’enquête. Son remplaçant Henry Kissinger – l’ancien gouverneur du New Jersey, Thomas Kean – a par la suite décrit la Commission comme ayant été délibérément établie pour échouer en étant, entre autres, sous-financée et précipitée.
A l’insu d’autres membres de la Commission de l’époque était le fait – qui n’a jamais été divulgué au public jusqu’aux derniers mois de l’enquête de la Commission – que Philip Zelikow avait rédigé un document de 31 pages en septembre 2002 intitulé ‘La stratégie de la sécurité nationale des États-Unis’, soumis par l’administration Bush au Congrès. Le document préconisait que les États-Unis devaient édifier et maintenir des défenses militaires au-delà de toute contestation ; devaient veiller à ce que des efforts soient déployés pour s’assurer que la sécurité et la protection des américains ne soient pas entravées par des enquêtes, des investigations ou des poursuites en Cour pénale ; et doivaient déclarer une guerre contre le terrorisme parce que « l’ennemi n’est pas un seul régime ou une seule personne ou une seule religion ou une seule idéologie. L’ennemi est le terrorisme – violence préméditée, politiquement motivée et perpétrée contre des innocents ». Le document de Zelikow, qui était un renversement fondamental des principes américains de confinement et de dissuasion, avait manifestement été rédigé en faisant référence à l’Irak et ce fut étrange de voir comment – que ce soit par coïncidence ou planifié – les événements du 9 septembre et ceux qui ont suivi se trouvaient être conformes au plan israélien de la division et la destruction de ses principaux rivaux arabes au Moyen-Orient.
Dans son livre At the Centre of the Storm : My Years at the CIA (Au milieu de