Ce tombeau n'existe plus, mais il est reproduit par Gaignières; et bien que celui-ci n'en donne pas l'épitaphe, les armoiries (
49
Voyez la collection de Gaignières,
50
Parmi ces ornements, d'un goût déplorable, qui vinrent remplacer de précieux monuments que leur caractère, sinon leur valeur comme art, eût dû au moins faire respecter, il faut signaler une certaine Gloire, de bois doré, qui vient étaler ses rayons de charpente et ses nuages de plâtre sur les piliers de l'abside jusqu'à la hauteur de la galerie, et détruit ainsi l'effet merveilleux de ce rond-point avec sa chapelle absidale.
51
Voyez, pour de plus amples détails sur ces tombeaux,
52
Voici ce qu'en dit dom Doublet (
D. Millet, dans son
53
De la
54
Voyez CATHÉDRALE, fig. 49. Le tombeau de Pierre de Roquefort est placé contre le mur occidental de la chapelle du nord. Ce prélat est mort en 1321.
55
56
Cette tombe a été souvent reproduite par la gravure et la chromolithographie (voyez la
57
Voyez l'ouvrage cité de M. Gailhabaud.
58
Ce monument a été envoyé à la fonte en 1793.
59
L'une d'elles est gravée dans la
60
Voyez Gaignières,
61
Voyez Gaignières,
62
Nous aurons l'occasion, dans le tome II du DICTIONNAIRE DU MOBILIER FRANÇAIS, de donner un grand nombre de ces gravures tombales si précieuses pour l'étude des habillements; c'est pourquoi nous n'en donnons point d'exemple ici: d'ailleurs ces objets sortent du domaine de l'architecture.
63
«Castra extollens altius et castella, turresque adsiduas per habiles locos et opportunos, quà Galliarum extenditur longitudo; nonnunquam etiam ultra flumen ædificiis positis snbradens barbaros fines.» (Ammien Marcellin, lib. XXVIII, cap. II.)
64
C'est ainsi que sont construites les tours romaines de Besigheim, au confluent du Necker et de l'Enz.
65
Voyez
66
Lib. I, cap. V.
67
Voyez
68
Tours visigothes de Carcassonne; tours d'Autun, de Cologne, de Dax; tours de Rome du temps de Bélisaire.
69
La tour dite du
70
Voyez HOURD.
71
Mosaïque gallo-romaine, musée de Carpentras.
72
Voyez HOURD, fig. 1.
73
Quant au plomb fondu, à l'huile bouillante, ce sont là des moyens de défense un peu trop dispendieux pour qu'on les puisse prendre au sérieux. D'ailleurs le plomb fondu, tombant de cette hauteur, serait arrivé en bas en gouttes froides, ce qui n'était pas très-redoutable. Ce n'était que par exception qu'on avait recours à ces moyens de défense. De simples cailloux du poids de 8 à 10 kilogrammes, tombant d'une hauteur de 20 mètres, étaient les projectiles les plus dangereux pour des hommes armés et pavaisés.
74
Il n'est question, bien entendu, que des constructions du commencement du XIIIe siècle, dues à Enguerrand. Les courtines du château de Coucy furent encore exhaussées vers 1400 par Louis d'Orléans.
75
Voyez, pour le système de structure de ces tours, à l'article CONSTRUCTION, la figure 144.
76
Ces escaliers ont été surélevés, sous Louis d'Orléans, jusqu'au niveau des combles.
77
Voyez LATRINES, fig. 1.
78
Voyez DONJON, HOURD, MÂCHICOULIS.
79
Voyez HOURD, PORTE (la porte de Laon à Coucy-le-Château).
80
La partie supérieure du crénelage, détruite aujourd'hui, est restaurée à l'aide des gravures de du Cerceau et de Châtillon.
81
Voyez CHÂTEAU.
82
Voyez ARCHITECTURE MILITAIRE, fig. 11, et SIÉGE, fig. 2.
83
Tour dite de
84
Ce nombre était plus que suffisant, puisque les deux enceintes n'avaient pas à se défendre