Bonaparte et les Républiques Italiennes (1796-1799). Gaffarel Paul. Читать онлайн. Newlib. NEWLIB.NET

Автор: Gaffarel Paul
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Жанр произведения: Зарубежная классика
Год издания: 0
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t. VII, p. 392.

46

Botta. Ouv. cit., liv. XII, p. 46.

47

Bonaparte connaissait parfaitement la situation, si l'on en juge par cette lettre, par lui adressée au Directoire, le 28 décembre 1796: «Il y a en ce moment-ci en Lombardie trois partis: 1o celui qui se laisse conduire par les Français; 2o celui qui voudrait la liberté et montre même son désir avec quelque impatience; 3o le parti ami des Autrichiens et ennemi des Français. Je soutiens et j'encourage le premier, je contiens le second et je réprime le troisième.»

48

Cante. Histoire des Italiens, liv. XI, p. 67.

49

Nozioni democratiche per uso della scuole normali. – Pensieri di un republicano sulla pubblica et privata félicita. – Elementi republicani, par Cavriani. – Dottrina degli antichi sulla liberta. – Della sovranita del popolo. – Un republicano che fu nobile agli ex nobili.

50

Voir B. Giovio. La conversione politica o lettere ai Francesi. Corresp. 1799, let. XIV. – cf. Giovanni de Castro, ouv. cit., p. 129.

51

Beccatini, ouv. cité, I, 23. «Distruggere tutte le religioni existenti nel nostro piccolo globo, rovesciare tutti i troni d'Europa.»

52

Correspondance, II, 132 (25 novembre 1796).

53

Ernesto Masi. Parruche e sanculotti nel secolo XVIII. Milan 1886. Voir pages 271-344. Il teatro Giocobino in Italia. – Cf. Paglici-Brozzi: Sul Teatro giacobino e antigiacobino in Italia, 1796-1805, Milan, 1887. – Marcellin Pellet. Le théâtre de la Cisalpine (Revue politique et littéraire, 21 avril 1888).

54

Il n'est que juste de reconnaître que les partisans de l'ancien régime avaient donné le mauvais exemple. En 1791, avait été représenté à Milan Il Cagliostro, par Natale Boriglio; en 1792, Voltaire muore come un disperato in Parigi par le même; en 1793, la Morte di Luigi XVI, par Tommasso de Terni; en 1794, la Morte di Maria Antonietta d'Austria, par le même, etc.

55

Voici le titre exact de ces rhapsodies, auxquelles Pindemonte n'hésitait pourtant pas à reconnaître une grande valeur. Il les appelait «l'eccellente lezione di morale republicana». 1o E meglio una volta che mai, ossia l'aristocratia vinta della persuasione. – 2o Il republicano si conosce alle azioni, ossia lo secolo dei buoni costume.

56

Augusto Aglebert. I primi martiri della liberta italiana. Une complainte fut composée en leur honneur. En voici deux couplets:

O di nostra libertaPrimi martiri ed eroi,Questo a voi, cantiamo a voiInno sacro alla pieta.L'innocente vostro sangueAvia, presto, avia vendettaE tremonte già l'aspetteLa Romana crudeltà.

57

I tempi dei Legati e dei Pistrucci, acte III, scène XXIII. – Io, o cielo … Etieni anche sull Alpi i distruttori dei tiranni? Avanzateei, o Francesi, e vendicate l'offesa umanita.»

58

Il ballo del Papa, ossio il generale Colli a Roma.

59

Giovanni De Castro, ouv. cit., p. 120. Cf. Masi. Parruche e sanculotti, p. 272.

60

Fumagalli. L'ultimà messa celebrata nello chiesa della Rosa, 1851.

61

Cusani. Storia di Milano, V, 54.

62

Scapatto al remo e al tiberin capestro.

63

Milano in uniformo republicano, ossia Ribattezamento delle porte, piazze, contrade, Milan, sans date, cité par de Castro, 129.

64

Cusani. Storia di Milano, V, 54.

65

Giovanni de Castro, ouv. cit., p. 92.

66

Minola, Diario 1796. – Cusani, Storia di Milano, V, 51.

67

Giovanni de Castro, ouv. cit., p. 101.

68

Minola, Diario 1797.

69

L'œuvre principale de Pertusati se nomme Meneghin, c'est-à-dire Polichinelle, sott' ai Francesi. M. de Castro en a donné plusieurs extraits dans son Milano e la Republica cisalpina (1879). Sur Pertusati on peut encore consulter: Cenni, sulla vita et sugli scritti del conte F. Pertusati. Milan, 1823.

70

Voir dans la Chartreuse de Parme, de Stendhal, le curieux portrait du comte del Dongo, enfermé dans son château de Grianta.

71

Curieuse lettre de Bonaparte à Talleyrand, 20 septembre 1797 (Correspondance, t. III, p. 342): «Que l'on ne s'exagère pas l'influence des prétendus patriotes Piémontais Cisalpins et Génois; et que l'on se convainque bien que, si nous retirions d'un coup de sifflet notre influence morale et militaire, tous ces prétendus patriotes seraient égorgés par le peuple. Il s'éclaire, il s'éclairera tous les jours davantage, mais il faut le temps et un long temps.»

72

Lettre au Congrès d'État de la Lombardie. (Correspondance, t. II, p. 157.)

73

Miot. Mémoires, t. I, p. 175.

74

Lettre à Talleyrand. Passariano, 10 septembre 1797. Correspondance, t. III, p. 313.

75

Id. Id.

76

Cité par Barante. Histoire du Directoire, t. II, p. 505.

77

Lettre de Bonaparte au Directoire, 8 mai 1797 (Corresp., t. III, p. 30): «Je fais rédiger ici, par quatre comités différents, toutes les lois militaires, civiles, et administratives qui doivent accompagner la Constitution. Je ferai pour la première fois tous les choix, et j'espère que, d'ici à vingt jours, toute la nouvelle République Italienne sera parfaitement organisée, et pourra marcher toute seule.»

78

Curieuse lettre de Bonaparte, au Directoire, 8 mai 1797 (Corresp., t. III, p. 30): «Mon premier acte a été de rappeler tous les hommes qui s'étaient éloignés craignant les suites de la guerre. J'ai engagé l'administration à concilier tous les citoyens et à détruire toute espèce de haine qui pourrait exister. Je refroidis les têtes chaudes et j'échauffe les froides. J'espère que le bien inestimable de la liberté donnera à ce peuple une énergie nouvelle et le mettra dans le cas d'aider puissamment la République française dans les guerres futures que nous pourrons avoir.»

79

Proclamation aux Lombards, Mombello, 29 juin 1797. (Correspondance, t. III, p. 152.)

80

Cf. le très curieux programme d'une fête célébrée plus tard, le 14 juillet 1797. (Correspondance, t. III, p. 179.)

81

On composa sur cette cérémonie divers écrits satiriques: L'imperatore, l'arciduca e il conte di Wilzek (1797). L'arciduca Ferdinando spectatore incognito alla gran festa della federazione e dialogo fra lui e Carpanino(1797). – De nombreux sonnets furent également improvisés. On les conserve à la bibliothèque Ambrosienne. Cf. de Castro, I, 160.

82

Cf. divers ordres de police pour la Cisalpine (Corresp., III, 18) contre les étrangers, même les Français, astreints à se faire inscrire à la police; – contre tous les citoyens non militaires porteurs de cocarde; – contre les Italiens, non Cisalpins, qui porteraient indûment