понимание природы и предпочтение села и земледельцев городу и горожанам, но такие восхваления природы проходили бесследно. Для примера укажем на Ла Брюера: «On s'élève à la ville dans une indifférence grossière des choses rurales et champêtres… on se contente de se nourrir et de s'habiller. Ne parlez pas à un grand nombre de bourgeois, ni de guérets ni de baliveaux, ni de provins, ni de regains, si vous voulez être entendu; ces termes pour eux ne sont pas franèais; parlez aux uns d'aunage, de tarif, ou de sou pour livre, et aux autres de voie d'appel, de requête civile, d'appointement, d'évocation. Ils connaissent le monde et encore par ce qu'il a de moins beau et de moins spécieux; ils ignorent la nature, ses commencements, ses progrés, ses dons et ses largesses… Il n'y a si VII. praticien qui au fond de son étude sombre et enfumée et l'esprit occupé d'une plus noire chicane, ne se préfère au laboureur qui jouit du ciel, qui cultive la terre, qui sème à propos et qui fait de riches moissons; et, s'il entend quelquefois parler des premiers hommes ou des patriarches, de leur vie champêtre, et de leur économie, il s'étonne qu'on ait pu vivre en de tels temps, où il n'y avait encore ni offices, ni commissions, ni présidents, ni procureurs» (ete. P. 155).
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См. стихотворение Шиллера «Прогулка»:
Здравствуй, веселое поле, ты, шелестящая липа…
Здравствуй и ты, синева, захватившая в мирный свой купол
И меня, который, бежав из комнаты душной
И от пошлых речей, ищет спасенья в тебе…
О, разомкнитесь же стены, дайте пленнику выход!
Он спасен и бежит в лоно покинутых нив…
Пер. Крешева в издании Гербеля