History of Civilization in England, Vol. 2 of 3. Henry Buckley. Читать онлайн. Newlib. NEWLIB.NET

Автор: Henry Buckley
Издательство: Public Domain
Серия:
Жанр произведения: Зарубежная классика
Год издания: 0
isbn: http://www.gutenberg.org/ebooks/44494
Скачать книгу
vol. ii. pp. 251, 345, 470.

403

Walker, who relates what he himself witnessed, says, that, about 1649, the army was commanded by ‘colonels and superior officers, who lord it in their gilt coaches, rich apparel, costly feastings; though some of them led dray-horses, wore leather-pelts, and were never able to name their own fathers or mothers.’ Hist. of Independ. part ii. p. 244. The Mercurius Rusticus, 1647, says, ‘Chelmsford was governed by a tinker, two cobblers, two tailors, two pedlars.’ Southey's Commonplace Book, third series, 1850, p. 430. And, at p. 434, another work, in 1647, makes a similar statement in regard to Cambridge; while Lord Holles assures us, that ‘most of the colonels and officers (were) mean tradesmen, brewers, taylors, goldsmiths, shoe-makers, and the like.’ Holles's Memoirs, p. 149. When Whitelocke was in Sweden in 1653, the prætor of one of the towns abused the parliament, saying, ‘that they killed their king, and were a company of taylors and cobblers.’ Whitelocke's Swedish Embassy, vol. i. p. 205. See also note in Carwithen's Hist. of the Church of England, vol. ii. p. 156.

404

Even De Retz, who vainly attempted to organise a popular party, found that it was impossible to take any step without the nobles; and, notwithstanding his democratic tendencies, he, in 1648, thought it advisable ‘tâcher d'engager dans les intérêts publics les personnes de qualité.’ Mém. de Joly, p. 31.

405

Mably (Observations sur l'Hist. de France, vol. i. p. 357) frankly says, ‘L'exemple d'un grand a toujours été plus contagieux chez les Français que partout ailleurs.’ See also vol. ii. p. 267: ‘Jamais l'exemple des grands n'a été aussi contagieux ailleurs qu'en France; on dirait qu'ils ont le malheureux privilège de tout justifier.’ Rivarol, though his opinions on other points were entirely opposed to those of Mably, says, that, in France, ‘la noblesse est aux yeux du peuple une espèce de religion, dont les gentilshommes sont les prêtres.’ Mém. de Rivarol, p. 94. Happily, the French Revolution, or rather the circumstances which caused the French Revolution, have utterly destroyed this ignominious homage.

406

The Duke de la Rochefoucauld candidly admits that, in 1649, the nobles raised a civil war, ‘avec d'autant plus de haleur que c'était une nouveauté.’ Mém. de Rochefoucauld, vol. i. p. 406. Thus too Lemontey (Etablissement de Louis XIV, p. 368): ‘La vieille noblesse, qui ne savait que combattre, faisait la guerre par goût, par besoin, par vanité, par ennui.’ Compare, in Mém. d'Omer Talon, vol. ii. pp. 467, 468, a summary of the reasons which, in 1649, induced the nobles to go to war; and on the way in which their frivolity debased the Fronde, see Lavallée, Hist. des Français, vol. iii. pp. 169, 170.

407

Hence the duchesses were called ‘femmes assises;’ those of lower rank ‘non assises.’ Mém. de Fontenay Mareuil, vol. i. p. 111. The Count de Ségur tells us that ‘les duchesses jouissaient de la prérogative d'être assises sur un tabouret chez la reine.’ Mém. de Ségur, vol. i. p. 79. The importance attached to this is amusingly illustrated in Mém. de Saint-Simon, vol. iii. pp. 215–218, Paris, 1842; which should be compared with De Tocqueville, Règne de Louis XV, vol. ii. p. 116, and Mém. de Genlis, vol. x. p. 383.

408

‘Survint incontinent une autre difficulté à la cour sur le sujet des tabourets, que doivent avoir les dames dans la chambre de la reine; car encore que cela ne s'accorde régulièrement qu'aux duchesses, néanmoins le feu roi Louis XIII l'avoit accordé aux filles de la maison de Bouillon,’ &c. Mém. d'Omer Talon, vol. iii. p. 5. See also, on this encroachment on the rights of the duchesses under Louis XIII., the case of Séguier, in Duclos, Mémoires Secrets, vol. i. pp. 360, 361. The consequences of the innovation were very serious; and Tallemant des Réaux (Historiettes, vol. iii. pp. 223, 224) mentions a distinguished lady, of whom he says, ‘Pour satisfaire son ambition, il lui falloit un tabouret: elle cabale pour épouser le vieux Bouillon La Marck veuf pour la seconde fois.’ In this she failed; but, determined not to be baffled, ‘elle ne se rebute point, et voulant à toute force avoir un tabouret, elle épouse le fils aîné du duc de Villars: c'est un ridicule de corps et d'esprit, car il est bossu et quasi imbécile, et gueux par-dessus cela.’ This melancholy event happened in 1649.

409

As to the Countess de Fleix and Madame de Pons, see Mém. de Motteville, vol. iii. pp. 116, 369. According to the same high authority (vol. iii. p. 367), the inferiority of the Princess de Marsillac consisted in the painful fact, that her husband was merely the son of a duke, and the duke himself was still alive ‘il n'étoit que gentilhomme, et son père le duc de la Rochefoucauld n'étoit pas mort.’

410

The long account of these proceedings in Mém. de Motteville, vol. iii. pp. 367–393, shows the importance attached to them by contemporary opinion.

411

In October 1649, ‘la noblesse s'assembla à Paris sur le fait des tabourets,’ Mém. de Lenet, vol. i. p. 184.

412

‘Tous ceux donc qui par leurs aïeux avoient dans leurs maisons de la grandeur, par des alliances des femmes descendues de ceux qui étoient autrefois maîtres et souverains des provinces de France, demandèrent la même prérogative que celle qui venoit d'être accordée au sang de Foix.’ Mém. de Motteville, vol. iii. p. 117. Another contemporary says: ‘Cette prétention émut toutes les maisons de la cour sur cette différence et inégalité.’ Mém. d'Omer Talon, vol. iii. p. 6; and vol. ii. p. 437: ‘le marquis de Noirmoutier et celui de Vitry demandoient le tabouret pour leurs femmes.’

413

Indeed, at one moment, it was determined that a counter-demonstration should be made on the part of the inferior nobles; a proceeding which, if adopted, must have caused civil war: ‘Nous résolûmes une contre-assemblée de noblesse pour soutenir le tabouret de la maison de Rohan.’ De Retz, Mémoires, vol. i. p. 284.

414

Mém. de Motteville, vol. iii. p. 389.

415

‘Signé d'elle et des quatre secrétaires d'état.’ Ibid. vol. iii. p. 391.

416

The best accounts of this great struggle will be found in the Memoirs of Madame de Motteville, and in those of Omer Talon; two writers of very different minds, but both of them deeply impressed with the magnitude of the contest.

417

Saint-Aulaire (Hist. de la Fronde, vol. i. p. 317) says, that in this same year (1649), ‘l'esprit de discussion fermentait dans toutes les têtes, et chacun à cette époque soumettait les actes de l'autorité à un examen raisonné.’ Thus, too, in Mém. de Montglat, under 1649, ‘on ne parlait publiquement dans Paris que de république et de liberté,‘**RSQUvol. ii. p. 186. In 1648, ‘effusa est contemptio super principes.’ Mém. d'Omer Talon, vol. ii. p. 271.]

418

That the failure of the Fronde is not to be ascribed to the inconstancy of the people, is admitted by De Retz, by far the ablest observer of his time: ‘Vous vous étonnerez peut-être de ce que je dis plus sûr, à cause de l'instabilité du peuple: mais il faut avouer que celui de Paris se fixe plus aisément qu'aucun autre; et M. de Villeroi, qui a été le plus habile homme de son siècle, et qui en a parfaitement connu le naturel dans tout le cours de la ligue, où il le gouverna sous M. du Maine, a été de ce sentiment. Ce que j'en éprouvois moi-même me le persuadoit.’ Mém. de Retz, vol. i. p. 348; a remarkable passage, and forming a striking contrast to the declamation of those ignorant writers who are always reproaching the people with their fickleness.

419

This knotty point was decided in favour of the Duke of York, to whom, in 1649, ‘la reine fit de grands honneurs, et lui