History of Civilization in England, Vol. 2 of 3. Henry Buckley. Читать онлайн. Newlib. NEWLIB.NET

Автор: Henry Buckley
Издательство: Public Domain
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Жанр произведения: Зарубежная классика
Год издания: 0
isbn: http://www.gutenberg.org/ebooks/44494
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si j'écris en français, qui est la langue de mon pays, plutôt qu'en latin, qui est celle de mes précepteurs, c'est à cause que j'espère que ceux qui ne se servent que de leur raison naturelle toute pure, jugeront mieux de mes opinions que ceux qui ne croient qu'aux livres anciens.’ Discours de la Méthode, in Œuvres de Descartes, vol. i. pp. 210, 211.

218

Ibid. vol. i. p. 127.

219

‘Er fing also vom Zweifel an, und ging durch denselben zur Gewissheit über.’ Tennemann, Gesch. der Philos. vol. x. p. 218. Compare Second Discours en Sorbonne, in Œuvres de Turgot, vol. ii. p. 89.

220

Disc. de la Méthode, in Œuvres de Descartes, vol. i. p. 136.

221

‘Je m'appliquerai sérieusement et avec liberté à détruire généralement toutes mes anciennes opinions.’ Méditations in Œuvres de Descartes, vol. i. p. 236.

222

Principes de la Philosophie, part i. sec. 75, in Œuvres de Descartes, vol. iii. pp. 117, 118; and compare vol. ii. p. 417, where he gives a striking illustration of this view.

223

Méditations, in Œuvres de Descartes, vol. i. pp. 303, 304.

224

‘Nous avons rempli notre mémoire de beaucoup de préjugés.’ Principes de la Philos. part i. sec. 47, in Œuvres, vol. iii. p. 91.

225

Œuvres, vol. iii. p. 117.

226

‘Ce qu'on peut particulièrement remarquer en ceux qui, croyant être dévots, sont seulement bigots et superstitieux, c'est à dire qui, sous ombre qu'ils vont souvent à l'église, qu'ils récitent force prières, qu'ils portent les cheveux courts, qu'ils jeûnent, qu'ils donnent l'aumône, pensent être entièrement parfaits, et s'imaginent qu'ils sont si grands amis de Dieu, qu'ils ne sauroient rien faire qui lui déplaise, et que tout ce que leur dicte leur passion est un bon zèle, bien qu'elle leur dicte quelquefois les plus grands crimes qui puissent être commis par des hommes, comme de trahir des villes, de tuer des princes, d'exterminer des peuples entiers, pour cela seul qu'ils ne suivent pas leurs opinions.’ Les Passions de l'Ame, in Œuvres de Descartes, vol. iv. pp. 194, 195.

227

As is particularly evident in his long chapter, headed ‘Apologie de Raimond Sebond.’ Essais de Montaigne, livre ii. chap. xii. Paris, 1843, pp. 270–382, and see Tennemann, Gesch. der Philos. vol. ix. p. 455.

228

He very clearly separates himself from men like Montaigne: ‘Non que j'imitasse pour cela les sceptiques, qui ne doutent que pour douter, et affectent d'être toujours irrésolus; car, au contraire, tout mon dessein ne tendoit qu'à m'assurer, et à rejeter la terre mouvante et le sable pour trouver le roc ou l'argile.’ Discours de la Méthode, in Œuvres de Descartes, vol. i. pp. 153, 154.

229

According to the view of Descartes, it was to be ignored, not denied. There is no instance to be found in his works of a denial of the existence of the external world; nor does the passage quoted from him by Mr. Jobert (New System of Philos. vol. ii. pp. 161, 162, Lond. 1849) at all justify the interpretation of that ingenious writer, who confuses certainty in the ordinary sense of the word with certainty in the Cartesian sense. A similar error is made by those who suppose that his ‘Je pense, donc je suis,’ is an enthymeme; and having taken this for granted, they turn on the great philosopher, and accuse him of begging the question! Such critics overlook the difference between a logical process and a psychological one; and therefore they do not see that this famous sentence was the description of a mental fact, and not the statement of a mutilated syllogism. The student of the philosophy of Descartes must always distinguish between these two processes, and remember that each process has an order of proof peculiar to itself; or at all events he must remember that such was the opinion of Descartes. Compare, on the Cartesian enthymeme, Cousin, Hist. de la Philos. I. série, vol. iv. pp. 512, 513, with a note in Kritik der reinen Vernunft, Kant's Werke, vol. ii. pp. 323, 324.

230

Méditations, in Œuvres de Descartes, vol. i. pp. 220, 226; and again in the Objections et Réponses, Œuvres, vol. ii. pp. 245, 246.

231

‘Au lieu que, lorsque nous tâchons à connoître plus distinctement notre nature, nous pouvons voir que notre âme, en tant qu'elle est une substance distincte du corps, ne nous est connue que par cela seul qu'elle pense.’ Œuvres de Descartes, vol. iv. p. 432. Compare vol. iii. p. 96, Principes de la Philosophie, part i. sec. 53.

232

‘En sorte qu'il me seroit bien plus aisé de croire que l'âme cesseroit d'être quand on dit qu'elle cesse de penser, que non pas de concevoir qu'elle soit sans pensée.’ Œuvres de Descartes, vol. viii. p. 574. That ‘the soul always thinks,’ is a conclusion also arrived at by Berkeley by a different process. See his subtle argument, Principles of Human Knowledge, part i. sec. 98, in Berkeley's Works, vol. i. p. 123; and for a curious application of this to the theory of dreaming, see Burdach, Physiologie comme Science d'Observation, vol. v. pp. 205, 230.

233

Œuvres de Descartes, vol. i. pp. 251, 252, 279, 293, vol. ii. pp. 252, 283.

234

Ibid. vol. i. p. 419; and at p. 420: ‘Or de tout cela on conclut très-manifestement que Dieu existe.’ See also pp. 159–162, 280, 290, 291. But the simplest statement is in a letter to Mersenne (vol. viii. p. 529): ‘J'ai tiré la preuve de l'existence de Dieu de l'idée que je trouve en moi d'un être souverainement parfait.’

235

‘Ainsi, quoique, de ce que je suis, je conclue avec certitude que Dieu est, je ne puis réciproquement affirmer, de ce que Dieu est, que j'existe.’ Règles pour la Direction de l'Esprit, in Œuvres, vol. xi. p. 274. See also Principes de la Philosophie, part i. sec. 7, vol. iii. p. 66.

236

On this famous argument, which it is said was also broached by Anselm, see King's Life of Locke, vol. ii. p. 133; the Benedictine Hist. Lit. de la France, vol. ix. pp. 417, 418; Mosheim's Eccles. Hist. vol. i. p. 239; and Cudworth's Intellect. Syst. vol. iii. p. 383.

237

‘Et certes jamais les hommes ne pourroient s'éloigner de la vraie connoissance de cette nature divine, s'ils vouloient seulement porter leur attention sur l'idée qu'ils ont de l'être souverainement parfait. Mais ceux qui mêlent quelques autres idées avec celle-là composent par ce moyen un dieu chimérique, en la nature duquel il y a des choses qui se contrarient; et, après l'avoir ainsi composé, ce n'est pas merveille s'ils nient qu'un tel dieu, qui leur est représenté par une fausse idée, existe.’ Œuvres de Descartes, vol. i. pp. 423, 424.

238

This is delicately but clearly indicated in an able letter from Arnaud, printed in Œuvres de Descartes, vol. ii. pp. 1–36: see in particular pp. 31, 34. And Duclos bluntly says: ‘Si, depuis la révolution que Descartes a commencée, les théologiens se sont éloignés des philosophes, c'est que ceux-ci ont paru ne pas respecter infiniment les théologiens. Une philosophie qui prenoit pour base le doute et l'examen devoit les effaroucher.’ Duclos, Mémoires, vol. i. p. 109.

239

On the relation of the Cartesian philosophy to the doctrine of transubstantiation, compare Palmer's Treatise on the Church, vol. ii. pp. 169, 170, with