Que Votre Lumière Luise Devant Les Hommes. Job Mothiba. Читать онлайн. Newlib. NEWLIB.NET

Автор: Job Mothiba
Издательство: Tektime S.r.l.s.
Серия:
Жанр произведения: Зарубежная эзотерическая и религиозная литература
Год издания: 0
isbn: 9788835428213
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n’arriverez pas à garder ce que vous avez obtenu facilement. Pourtant, ce que vous n’avez pas gagné ne vous appartient nullement. Le monde tourne sur son axe. Vous n’avez pas besoin de vous débarrasser des autres pour gagner. Ne faites donc pas l’erreur de vous isoler du reste du monde. « L’Eternel rendra à chacun selon sa justice et sa fidélité ; car l’Eternel t’avait livré aujourd’hui entre mes mains, et je n’ai pas voulu porter la main sur l’oint de l’Eternel ». (1 Samuel 26 : 23)

      Nous avons tous nos faiblesses, l’essentiel est de persévérer à chaque occasion et de commencer à nouveau. Certes, parfois on voudrait abandonner, mais c’est en ces moments que l’ennemi profite de notre faiblesse.

      Pourtant, ce n’est nullement le moment d’abandonner, malgré votre situation. Gardez l’esprit positif, luttez à la réalisation de vos objectifs. Persistez et vous y arriverez à la fin. Posez votre espoir dans la persévérance. « Le soir arrivent les pleurs, et le matin l’allégresse ». (Psaume 30 : 5)

      Que faites-vous pour toucher la vie des autres, surtout ceux qui peuvent vous venir en aide quand vous avez besoin d’eux ? Eh bien, la vie est un voyage sur terre, ne portez jugement à personne ; aujourd’hui on aura peut-être des ennuis, mais demain tout cela peut changer. Personne n’a la capacité de prévoir l’avenir, pourtant, ce qui est sûr, on moissonne ce qu’on sème. Pour avoir la satisfaction totale, faites offrir vos services aux autres jusqu’à l’épuisement.

      Vous comprendrez alors que c’est tout ce qu’il fallait. Et n’oubliez pas de remercier Dieu pour ce que vous avez gagné, peu importe quoi que ce soit. Une reconnaissance sincère est un outil puissant pour attirer davantage de bonté dans votre vie. « Pour tous ceux qui vivent il y a de l’espérance ; et même un chien vivant vaut mieux qu’un lion mort ». (Ecclésiastes 9 : 4.)

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       *Motho ke motho ka batho, *Umuntu ngumuntu ngabantu

      Vous est-il jamais arrivé, au milieu de l’écriture d’un très long message, le sentiment, « vraiment, je m’en fous », et ensuite tout effacer ? Parfois il vaut mieux faire semblant que tout va bien que de s’abandonner à la souffrance. En effet, c’est de l’ironie de sourire quand on a l’esprit troublé en même temps. On demande toujours, « Ça va ? » sans se demander si la réponse habituelle, « Oui, ça va » est exacte ou pas.

      Souvent on répond « Oui, ça va » à la question parce qu’il n’est pas facile à expliquer le contraire. Parfois on répond, « Oui, ça va » d’une façon à faire l’autre se rapprocher de vous et vous dire, « Je sais que ça ne va pas ». C’est cela la manifestation de l’amour véritable. Il s’agit de l’amour de respecter la volonté des autres, leur droit à la faiblesse d’esprit. Vous pouvez leur offrir votre soutien, mais sans transgresser en même temps leur liberté. Il vous faut accepter que parfois les gens ont besoin de leur propre espace.

      Votre rôle se limite à créer l’idée, ensuite la laisser développer seule, même dans la difficulté. Car, « … ce n’est pas celui qui plante qui est quelque chose, ni celui qui arrose, mais Dieu qui fait croître ». (1 Corinthiens 3 : 7)

      Etes-vous capable d’accepter quelqu’un, même si vous n’êtes pas d’accord avec son point de vue, tout en vous souciant de lui ? Ce n’est que lorsque vous accueillez cet enfant, ce voisin, ce domestique ou cet étranger qu’ils deviennent de vraies personnes devant vous. Vos différences d’opinion, de choix ou de religion ne doivent pas vous mettre à part. Aimez-les tels qu’ils sont.

      Il est parfois possible d’avoir des différences d’opinion avec des gens qu’on aime vraiment. Le manque de différences peut être une indication d’un manque d’intérêt. Pardonnez tous les jours. Pardonnez aux autres et pardonnez-vous également….

      Pourtant, « pardonner » aux autres ne veut nullement dire qu’ils ne vont plus vous opposer ou décevoir. Parfois on n’arrive pas à faire ce qu’il faut, mais on ne doit jamais abandonner. « Ne jugez point, et vous ne serez point jugés ; ne condamnez point, et vous ne serez point condamnés ; absolvez, et vous serez absous ». (Luc 6 : 37)

      Les moments que vous passez au service et à la disposition des autres sont plus importants que les moments où vous restez seuls. Un mot ou un moment que vous partagez avec un prochain peut avoir un grand impact sur sa vie. Nous avons tous la capacité de venir à l’aide des autres d’une manière à l’autre. Ce que vous faites à l’isolation reste avec vous, mais ce qu’on fait pour les autres reste avec eux pour toujours.

      Faites donc à chaque occasion d’après les désirs de vos cœurs, avec enthousiasme, et non pas par obligation. Dieu aime ceux qui donnent avec sincérité. « Et Dieu peut vous combler de toutes sortes de grâces, afin que, possédant toujours en toutes choses de quoi satisfaire à tous vos besoins, vous avez encore pour toute bonne œuvre ». (2 Corinthiens 9 : 8 LSG)

      Il y a quelqu’un quelque part qui a besoin de votre soutien. Toute prière est utile. Dieu prête attention à chaque mot de nos supplications. Une petite prière peut avoir un grand impact. Ne cessez pas d’espérer.

      Quand vous priez en isolation, bénissez votre prochain, sans attendre de récompense. Personne ne doit savoir ce que vous faites pour les gens. Il est important de prier pour des gens que vous ne connaissez même pas. Cherchez la direction de Dieu, c’est plus important que la promptitude. Malheureusement, souvent nous avons la tendance de nous hâter sans direction.

      Le moment actuel est le plus important. Hier est dans le passé ; et on ne peut rien faire pour le changer. Demain est au-delà de nous. Le présent, cette minute même, c’est le moment opportun de dire aux autres, « Dieu vous aime tant ». Quelqu’un quelque part a besoin de cette assurance. On ne le sait peut-être pas, mais tant de gens souffrent dans le silence. La plus grande consolation serait donc la certitude de l’amour de Dieu pour nous.

      Faites la décision aujourd’hui de venir au soutien de ceux qui en ont besoin. N’hésitez pas à faire des compliments. Rappelez aux gens comment ils sont exceptionnels. Cela leur est important. Appréciez à chaque occasion la vie des autres. Cherchez à toujours faire ce qui est utile aux autres, Dieu sera votre guide, et Il vous mettra à votre disposition ce qu’il vous faut. L’Eternel affermit les pas de l’homme, et Il prend plaisir à sa voie. (Psaume 37 : 23)

      Il est toujours le moment d’offrir aux autres l’amour, la compassion et le pardon. Si vous pardonnez votre prochain, c’est une expression d’amour. Vous avez également besoin de vous pardonner vous-même pour la peine que vous gardez dans votre cœur. Une erreur que vous avez fait ne vous oblige nullement de souffrir le reste de votre vie. Ne restez pas dans le piège de la culpabilité, le jugement et la pitié. Vous ne devez jamais dire à propos de vous-même, « Eh bien, je me suis mis dans de beaux draps ! »

      Tout le monde fait des erreurs de temps en temps ; c’est chose normale. L’essentiel c’est de les reconnaitre afin d’éviter d’être jugé. Acceptez votre erreur et demandez pardon. « Que Dieu ait pitié de toi selon sa grande miséricorde, et qu’Il efface toutes tes transgressions ». (Psaume 51 : 1)

      Voir une personne sourire est une des meilleures choses de la vie, surtout si c’est suite à vos compliments. C’est une célébration de Dieu chaque fois que vous apportez du bonheur aux gens, ou vous les complimentez ou tout simplement confessez la beauté de leur personnalité.

      Soyez donc sympathique, même aux étrangers, on ne sait jamais ; il se peut que ce soit un ange qui s’est caché derrière cette personne. Les gens qui vous rencontrent doivent sentir votre joie, votre amour sans conditions et votre approbation. Peut-être que vous rencontriez un ange. « Que la grâce et la paix vous soient données de la part de Dieu notre Père et du Seigneur Jésus-Christ ! » (Ephésiens 1 : 2)